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MASHA' ALLAH


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Quand Khushru Anushirvan, empereur de Perse sassanide, a signé une trêve de dix années avec Justinien de Byzance, il a assuré la continuité de la science en demandant que les enseignants récemment aboli de l'Académie d'Athènes puisse être transféré en Perse.
Dans son fanatisme, Justinien a essaye de mettre fin au judaïsme. Le Neo - Platonicists installés en Mésopotamie sous persan règle, et leur école était déjà florissante quand la Perse a été conquise par l'islam.
Mathématiques et astronomie prospérent (par exemple, Omar Khayyam, dont Rubayat était juste un passe-temps, sa créativité professionnelle ayant donné méthodes de résolution factorizable cubes équations ...) et répartis dans le nouveau Mohammedon Empire. Les Juifs ont participé activement, et le premier Arabe - languate traité sur l'Astrolabe a été écrit par le juif Joël, connu sous le nom de Masha Allah - de Bassorah (Irak) vers l'an 800. C'est le traité qui a été traduit en anglais par Geoffrey Chaucer ( "Le Traité sur l'Astrolabe") autour de 1380, à partir d'une traduction latine avant. Masha Allah a également écrit un livre sur les éclipses lunaire et solaire, qui a ensuite été traduit en hébreu par Abraham Ibn Ezra ( "Sefer être kadrut hectares levana ve ha de shemesh" ")

740-815

Juif d’origine égyptienne (bien que certains disent qu’il serait né à Bassora), Mashallah ou Messahalah ou Manasseh ou Misha ou Jethro serait né en 740. En tout état de cause, il fut le Maître Astrologue incontesté du VIIIème siècle à Bagdad et apparemment un des tout premiers astrologues « arabes ». Son nom arabe signifierait : « Ce que Dieu a fait ».

Dans sa jeunesse, en compagnie d’al-Naubakht, il travailla à la création de la nouvelle Bagdad. On lui doit aussi pas moins de deux douzaines de traités d’Astrologie qui firent autorité tant dans le monde arabe qu’en Occident chrétien. Parmi eux, on peut citer des ouvrages sur « Les retours du Soleil », « Les révolutions annuelles du Ciel », « Les conjonctions astronomiques », « Les mouvements des Planètes », « Les Eclipses », « La construction et l’usage de l’Astrolabe »…Ouvrages qui, s’ils dérivaient quant aux interprétations, ne s’en appuyaient pas moins sur des observations extrêmement rigoureuses.

Mashallah était très familier de l’Astrologie persane et indienne et il reconnaît lui même avoir largement utilisé le « Zij al-Shah », un répertoire de tables astronomique persanes compilées au VIème siècle pour Shâh Khusrau Anûshirwân. Ces tables se basaient elles mêmes sur un travail indien antérieur faisant appel à un Zodiaque FIXE, ce qui constituait une erreur rédhibitoire et condamnait à une incompréhension définitive des mouvements réels des corps célestes.

Son intérêt pour l’Astrologie l’amena à s’intéresser à l’Astronomie. Tous ses écrits, sauf un, ont disparu mais il en subsiste de nombreuses versions traduites en latin ou en hébreux. Son ouvrage le plus populaire fut « De scientia motus orbis » dont on connaît la traduction effectuée par Gérard de Crémone. Le titre original pourrait avoir été « Le vingt-septième ».

Un des ses plus fameux élèves fut Abû Alî al-Khayyât

Il serait mort en 815.

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